Cette semaine, le procès qui oppose Google à la société HyperPhrase prend une tournure en défaveur du moteur de recherche.
En effet, le dossier vient d'être renvoyé devant le tribunal du Wisconsin.
Les brevets qu'HyperPhrase prétend avoir été abusés par Google concerne les programmes publicitaires Adsense qui génère la quasi-totalité du chiffre d'affaires de Google.
jeudi, décembre 27, 2007
samedi, décembre 22, 2007
Infos confidentielles sur Google Reader
Frédéric Cozic sur son excellent blog Aysoon nous relaie des informations confidentielles divulguée par un employé de Google.
Parmi les informations que je retiens : Google Reader traite 8 millions de flux, il n'y a que 6 employés qui s'occupent de l'outil, le lecteur archive tous les flux, c'est la 3ème application la plus populaire (hormis le moteur) et 70% des utilisateurs ont Firefox.
La totalité des informations est à lire sur le billet Google Reader du blog Aysoon.
Parmi les informations que je retiens : Google Reader traite 8 millions de flux, il n'y a que 6 employés qui s'occupent de l'outil, le lecteur archive tous les flux, c'est la 3ème application la plus populaire (hormis le moteur) et 70% des utilisateurs ont Firefox.
La totalité des informations est à lire sur le billet Google Reader du blog Aysoon.
mardi, décembre 18, 2007
Google va se mettre au vert
Google est décidément partout, même là où on l'attend le moins. Fin novembre, les dirigeants du moteur de recherche le plus utilisé au monde ont annoncé vouloir investir " des centaines de millions de dollars " dans les énergies renouvelables. Il s'agira de plancher sur les technologies permettant de produire de l'électricité moins chère que celle générée par les centrales au charbon (et, partant, moins émettrice en gaz à effet de serre).
Les dirigeants de Google ont souligné le fait que le groupe californien était un gros consommateur d'énergie - au travers de ses énormes " fermes " de serveurs informatiques archivant une partie du " World Wide Web " -, et qu'il profiterait au premier chef de ce nouveau champ de recherche. " Les quantités d'énergie que les ordinateurs consomment dans le monde sont énormes. Notre but est de les réduire ", selon Nelson Mattos, vice-président de la recherche et développement (R & D) pour l'Europe chez Google.
L'initiative a néanmoins suscité des critiques dans les milieux financiers. Des analystes ont suggéré que, si le géant du Web continuait à se développer tous azimuts - logiciels de bureautique, cartographie numérique, téléphonie mobile, réseaux " sociaux " -, sa stratégie risquait de devenir illisible. Et que son cours de Bourse en pâtirait. Google avait beau disposer d'une énorme trésorerie (13 milliards de dollars fin septembre 2007), il ferait mieux de se concentrer sur son " métier " de base : le moteur de recherche en ligne et l'offre publicitaire associée, qui lui assurent l'essentiel de ses revenus.
Sur la blogosphère, d'autres ont trouvé très irritants ces " good guys " de Google qui, non contents de vouloir " organiser l'information du monde et la rendre accessible de façon universelle ", selon les termes de leurs deux fondateurs, Sergey Brin et Larry Page, prétendent maintenant sauver la planète.
Angélisme et cours de Bourse mis à part, pourquoi ne pas se réjouir qu'une entreprise aussi connue que Google dépense ses millions pour le climat ? Celles qui, de façon volontaire, ont annoncé vouloir investir autant pour une telle cause ne sont pas légion.
En 2006, en prenant tous les acteurs en compte (particuliers, entreprises, collectivités territoriales), les réductions volontaires de gaz à effet de serre n'ont atteint que 13 millions de tonnes dans le monde, selon la Mission climat de la Caisse des dépôts et consignations.
Google pourrait faire des émules. Alors que les dirigeants américains refusaient encore, mi-décembre, de s'engager à la conférence des Nations unies sur le climat, à Bali, sur des objectifs chiffrés de réductions d'émissions, ce sont peut-être les entreprises nationales qui montreront la voie à l'Etat fédéral.
Source : Le Monde
Les dirigeants de Google ont souligné le fait que le groupe californien était un gros consommateur d'énergie - au travers de ses énormes " fermes " de serveurs informatiques archivant une partie du " World Wide Web " -, et qu'il profiterait au premier chef de ce nouveau champ de recherche. " Les quantités d'énergie que les ordinateurs consomment dans le monde sont énormes. Notre but est de les réduire ", selon Nelson Mattos, vice-président de la recherche et développement (R & D) pour l'Europe chez Google.
L'initiative a néanmoins suscité des critiques dans les milieux financiers. Des analystes ont suggéré que, si le géant du Web continuait à se développer tous azimuts - logiciels de bureautique, cartographie numérique, téléphonie mobile, réseaux " sociaux " -, sa stratégie risquait de devenir illisible. Et que son cours de Bourse en pâtirait. Google avait beau disposer d'une énorme trésorerie (13 milliards de dollars fin septembre 2007), il ferait mieux de se concentrer sur son " métier " de base : le moteur de recherche en ligne et l'offre publicitaire associée, qui lui assurent l'essentiel de ses revenus.
Sur la blogosphère, d'autres ont trouvé très irritants ces " good guys " de Google qui, non contents de vouloir " organiser l'information du monde et la rendre accessible de façon universelle ", selon les termes de leurs deux fondateurs, Sergey Brin et Larry Page, prétendent maintenant sauver la planète.
Angélisme et cours de Bourse mis à part, pourquoi ne pas se réjouir qu'une entreprise aussi connue que Google dépense ses millions pour le climat ? Celles qui, de façon volontaire, ont annoncé vouloir investir autant pour une telle cause ne sont pas légion.
En 2006, en prenant tous les acteurs en compte (particuliers, entreprises, collectivités territoriales), les réductions volontaires de gaz à effet de serre n'ont atteint que 13 millions de tonnes dans le monde, selon la Mission climat de la Caisse des dépôts et consignations.
Google pourrait faire des émules. Alors que les dirigeants américains refusaient encore, mi-décembre, de s'engager à la conférence des Nations unies sur le climat, à Bali, sur des objectifs chiffrés de réductions d'émissions, ce sont peut-être les entreprises nationales qui montreront la voie à l'Etat fédéral.
Source : Le Monde
vendredi, décembre 14, 2007
La Google Toolbar devient sociale
Parmi les fonctionnalités de la nouvelle version de la Google Toolbar, il faut noter la présence de la possibilité de créer et sauvegarder nos sites favoris sur un service en ligne et de les partager avec d'autres internautes.
Google s'engage dans la voie du Social Bookmarking puisqu'il devient de plus en plus populaire.
Parmi les autres fonctions, il y a des suggestions en temps réel qui vont s'afficher lorsque l'utilisateur entre une requête dans la barre de recherche et la possibilité de créer des boutons de recherche customisés pour nos sites préférés.
Le pouvoir d'interaction de l'utilisateur devient de plus en plus puissant, tel que l'a voulu le concept du Web 2.0 et Google ne manque pas d'y contribuer. La première tendance notable était la page d'accueil Google personnalisée, mais la nouvelle Toolbar continue sur cette voie.
Google s'engage dans la voie du Social Bookmarking puisqu'il devient de plus en plus populaire.
Parmi les autres fonctions, il y a des suggestions en temps réel qui vont s'afficher lorsque l'utilisateur entre une requête dans la barre de recherche et la possibilité de créer des boutons de recherche customisés pour nos sites préférés.
Le pouvoir d'interaction de l'utilisateur devient de plus en plus puissant, tel que l'a voulu le concept du Web 2.0 et Google ne manque pas d'y contribuer. La première tendance notable était la page d'accueil Google personnalisée, mais la nouvelle Toolbar continue sur cette voie.
Google Knol Project : l'encyclopédie par les utilisateurs façon Google
Le GoogleBlog officiel nous annonce l'arrivée prochaine d'un nouveau service Google qui va tacler de front l'encyclopédie en ligne Wikipedia. Le projet s'appelle Knol qui signifie une unité de connaissance.
L'idée principale derrière Knol est de mettre en avant les auteurs. C'est un twist intéressant par rapport à la sulfureuse Wikipedia qui privilégie l'anonymat des auteurs.
Voici une capture d'écran d'un Knol
L'idée principale derrière Knol est de mettre en avant les auteurs. C'est un twist intéressant par rapport à la sulfureuse Wikipedia qui privilégie l'anonymat des auteurs.
Voici une capture d'écran d'un Knol
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